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7 ans après…

Un divorce les avait séparés…
… le danger va les réunir.

Après un divorce orageux, Nikki et Sebastian ont refait leur vie, très loin l’un de l’autre. Jusqu’au jour où leur fils Jeremy disparaît mystérieusement. Fugue ? Kidnapping ?

Pour sauver ce qu’elle a de plus cher, Nikki n’a d’autre choix que de se tourner vers son ex-mari qu’elle n’a pas revu depuis sept ans.
Contraints d’unir leurs forces, ils s’engagent alors dans une course-poursuite, retrouvant une intimité qu’ils croyaient perdue à jamais…

interview à propos de 7 ans après
Interview de Guillaume Musso à propos de 7 ans après..., Mars 2012

Votre nouveau roman s’ouvre sur une citation d’Alfred Hitchcock. Le « maître du suspense » anglo-américain a-t-il été une de vos sources d’inspiration pour ce livre ?

À l’origine de l’écriture de Sept ans après…, il y a en effet l’envie de jouer avec les codes du suspense en élaborant une histoire distillant certaines obsessions hitchcockiennes. « Mon héros, disait Hitchcock, est un homme ordinaire à qui il arrive des choses étranges. » D’où l’idée de partir de ce couple de New-Yorkais, Nikki et Sebastian, divorcés depuis 7 ans après s’être passionnément aimés, et de le confronter à la disparition mystérieuse de son fils. En commençant à enquêter sur ce qu’ils pensent d’abord n’être qu’une banale fugue d’adolescent, ils vont se faire happer par une situation qui les dépasse.

Brutalement, cette histoire qui avait débuté comme une chronique familiale bascule dans le thriller lorsqu’ils se retrouvent accusés de meurtre. Fugitifs malgré eux, Nikki et Sebastian vont peu à peu se rendre compte que la disparition de leur fils n’est que la partie visible d’un engrenage infernal aux ramifications inattendues.

Si la thématique et la structure de l’histoire sont clairement celles du thriller, le ton du roman incorpore de nombreuses touches d’humour

C’est vrai, notamment au détour de joutes verbales dans lesquelles se lance ce couple qui s’aime encore sans jamais se le dire. Dans un roman à suspense, l’humour permet aussi de ménager des pauses dans le crescendo de la tension pour ne pas être artificiellement sur la corde raide pendant 400 pages.

Là encore, les modèles indépassables sont pour moi les couples hitchcockiens : que l’on songe par exemple à la complicité entre James Stewart et Grace Kelly dans Fenêtre sur cour ou à l’alchimie glamour unissant Cary Grant à Eva Marie Saint dans La Mort aux trousses.

lire toute l’interview

Justement, en parlant de couple, votre roman peut aussi se lire comme une « comédie du remariage » contemporaine.

C’est en effet une autre de mes références revendiquées. Depuis longtemps, je suis un grand admirateur de la screwball comedy hollywoodienne : ces films américains sortis dans les années 30 et 40 – souvent d’ailleurs avec Cary Grant et Katharine Hepburn – qui posèrent les bases de la comédie romantique. J’en aime le rythme soutenu, les répliques pleines d’esprit et le renversement de rôles au sein du couple qui fait du personnage féminin l’élément moteur de l’action. Parmi ces films, mes préférés sont effectivement les « comédies du remariage » dont les exemples les plus connus sont His Girl Friday d’Howard Hawks et The Philadelphia Story de Leo McCarey. Ces films mettent en scène un couple séparé ou divorcé qui, pendant toute la durée de l’action, va vivre un parcours initiatique, une sorte de « jeu du chat et de la souris » qui lui donnera la possibilité de se retrouver.

C’est exactement ce qui arrive à mes héros, Nikki et Sebastian. Après un divorce houleux et traumatisant, chacun avait bien pris soin de reconstruire sa vie le plus loin possible de l’autre, mais lorsque leur fils disparaît, ils n’ont plus d’autre choix que de collaborer et d’unir leurs forces retrouvant malgré eux une intimité qu’ils avaient tout fait pour oublier.

Je trouve cette thématique des retrouvailles beaucoup plus riche et complexe que les comédies romantiques formatées qui mettent habituellement en scène un homme et une femme au début de leur histoire d’amour lorsque tout est encore neuf et beau. Ici, le couple a déjà un passé commun et chacun connaît les forces et les faiblesses de l’autre. Dès lors, l’intrigue devient presque un prétexte pour créer des situations qui vont permettre à ce couple de renaître de ses cendres, de se réinventer et de trouver un nouvel équilibre.

L’action du roman est très resserrée. Pendant quelques jours, vos personnages sont plongés dans des univers, dont ils ne maîtrisent pas les codes : les bas-fonds de Brooklyn, le Paris interlope, Rio, la forêt amazonienne. Pourquoi un tel choix ?

Parce que l’omniprésence du danger et de l’inconnu va jouer pour mes deux héros comme un révélateur de personnalité. Nikki a du cran. C’est une femme guerrière, combative et physique alors que Sebastian est un homme plus pondéré, plus cérébral et beaucoup moins doué pour l’action.

Cet antagonisme et les conflits qu’il génère me permettent, au début du roman, de mettre en scène des oppositions marquées, ce qui est toujours intéressant en termes d’efficacité des dialogues et de présentation des personnages. Puis, au fur et à mesure que l’intrigue avance et que le danger se fait plus fort, chacun va se remettre en question et accomplir une sorte de trajectoire accélérée qui ouvrira la voie à un rapprochement et à une complémentarité, condition sine qua non pour le couple d’avoir une chance de retrouver son fils.

Vous avez été en 2011 le romancier français le plus lu et vous connaissez le succès depuis 2004. Le titre de votre dernier roman, Sept ans après, sonne justement comme un rappel de votre premier succès, Et après. Faut-il y voir une volonté de mesurer le chemin accompli ?

Un simple clin d’œil tout au plus. Il est vrai que Sept ans après… a été écrit en grande partie pendant l’année 2011, soit 7 ans après le succès de Et après… Il est vrai aussi que ces années auront été intenses, vécues à la fois dans le bouillonnement créatif et les rencontres avec les lecteurs en France et à l’étranger.

Mais ma nature me porte à toujours me projeter vers l’avenir, d’autant plus qu’il n’y a chez moi aucune lassitude dans l’écriture. J’y prends au contraire de plus en plus de plaisir et je sais désormais que j’écrirai encore pendant des années. D’abord parce que j’ai de nombreuses idées de roman « en réserve » et ensuite parce que je suis impatient d’explorer de nouveaux territoires de création. À une époque saturée d’écrans, de zappings et de technologie, j’aime l’idée que de simples mots posés sur le papier puissent provoquer du rêve, de la peur, des émotions…

Depuis trois romans, vous avez abandonné la dimension surnaturelle qui imprégnait vos premiers livres pour une veine plus policière. Est-ce un renoncement définitif ?

En ce moment, il est vrai que mon genre de prédilection est le roman à suspense, car il permet de concilier le plaisir de lecture avec la possibilité de traiter – de façon peut-être plus mature qu’avec le surnaturel – de certains thèmes qui me sont chers : la famille, le couple, les transformations du monde, les dérèglements de l’humain. Mais mon grand plaisir reste de mélanger les genres. C’est, je crois, ce qui fait mon originalité : jouer avec les codes et revisiter certains thèmes en essayant de les traiter de manière novatrice. Je fais aussi très attention à ce que mon écriture ne devienne pas mécanique. Plutôt mourir que d’écrire deux fois le même livre, car le plaisir de l’écriture tient aussi à celui de savoir innover et de parvenir à se surprendre soi-même.

Justement, au fil des années, votre méthode d’écriture a-t-elle changé ?

Comme un artisan, disons que je maîtrise beaucoup plus mon savoir-faire. Mes histoires ont des intrigues plus denses et mes personnages sont plus nuancés. Ce qui n’a pas changé, c’est mon attachement à ce que mes romans procurent un plaisir de lecture et offrent un vrai moment d’évasion. Ma priorité reste donc le côté addictif de l’histoire, la volonté d’adopter une narration moderne qui entraîne le lecteur dans mon univers.
Cela dit, le processus de création reste toujours très mystérieux : une étincelle, des flashs qui fusent, des idées qui s’imbriquent et s’agrègent pour, petit à petit, former la trame d’une histoire…
Concernant l’écriture proprement dite, le genre qui est le mien m’impose de mettre en place une ossature solide et d’être vigilant à la cohérence de l’intrigue, mais je me lance désormais beaucoup plus rapidement dans la rédaction. Je me laisse guider par le déroulement de l’histoire et je me fais davantage confiance pour trouver des solutions en cas de blocage. Beaucoup de rebondissements s’imposent dorénavant pendant la rédaction du roman.

Cette spontanéité et cette assurance sont relativement nouvelles chez moi. Si elles impliquent une plus grande incertitude, elles ont aussi quelque chose de plus instinctif et pour tout dire, de plus jubilatoire !

la presse en parle
  • « Un époustouflant scénario de thriller. Guillaume Musso vous embarque dans une intrigue aux rebondissements incessants, une course poursuite survoltée (…) Guillaume Musso multiplie les jolies trouvailles (…) 400 pages de vertige et d’apnée ! »

    Bernard Lehut, RTL
  • « Le dernier livre de Guillaume Musso se lit d’une traite.(…) On pense immédiatement àIndiscrétions de Georges Cukor avec Cary Grant, James Stewart et Katharine Hepburn. (…) Une intrigue très bien ficelée (…), une histoire brillante. »

    Olivier Bellamy, Radio Classique
  • « Une très jolie mécanique (…) Opération réussie pour Guillaume Musso avec ce passage au polar. »

    Michel Field, Au Field de la nuit
Toute la presse en parle
  • « Un couple à la Cary Grant et Katherine Hepburn (…), une humanité des personnages,  une écriture prodigieusement addictive. Je vous mets au défi de ne pas terminer ce livre. »

    Wendy Bouchard, Europe 1
  • « Un thriller doublé d’une merveilleuse comédie romantique.»

    France Info
  • « Une incroyable course-poursuite des tours de New York à la jungle amazonienne en passant par les quais de la Seine. Avec cette réunion de famille en forme de thriller, aussi haletante qu’originale, Guillaume Musso surprend jusqu’à la toute dernière page. »

    Jérôme Vermelin, Metro
  • « Le romancier préféré des Français présente 7 ans après… , un thriller impeccablement construit qui est aussi un roman sur le couple. »

    Lefigaro.fr
  • « Une course poursuite infernale aux quatre coins du globe, (…) façon thriller. Comédie du remariage où l’union fait la force, le romantisme fantastique des débuts de Musso a laissé place à une trame plus punchy. Toujours aussi efficace et filmique, le style Musso.»

    Julie Malaure, Le Point
  • « Musso invente le thriller familial. Avec 7 Ans après…, son neuvième roman, Guillaume Musso plonge une famille qui se déchire dans un récit mêlant action, suspense et voyages. Jusqu’à la dernière page de 7 Ans après…, Guillaume Musso plonge le lecteur dans un suspense haletant. »

    Le Parisien
  • « Son nouveau roman 7 ans après… est plus noir que les précédents. Un thriller violent, mais romantique. »

    Le Monde
  • «Guillaume Musso a imaginé une chronique familiale mêlée à un thriller voyageur.»

    La Provence
  • « (…) un thriller psychologique riche en rebondissements. »

    Tatiana de Rosnay, Le Journal du Dimanche
  • « Un thriller bien ficelé. On se croirait presque dans un roman de Jean-Christophe Grangé. Pas tout à fait cependant, tant l’univers si personnel de Musso, qui mêle sentiments et psychologie, enveloppe l’intrigue. Il prouve une nouvelle fois sa capacité à donner vie à des individus auxquels chacun peut s’identifier.»

    Le Figaro littéraire
  • « Guillaume Musso n’a pas son pareil pour mêler l’intrigue sentimentale à la trame policière. (…) Ainsi oscille-t-on entre l’émotion, l’empathie avec ses héros et l’envie de tourner les pages à toute vitesse, tant le suspense s’y révèle haletant. 7 ans après n’échappe pas à cette tendance.  »

    Le Progrès
  • « Un thriller mené sur les chapeaux de roue.»

    Pèlerin
  • « Un thriller haletant et crédible jusqu’au bout. Guillaume Musso est le roi du suspense. »

    Bernard Thomasson, France Info
  • «Un ouvrage impeccable où le suspense et l’amour tiennent le lecteur en haleine sur près de 400 pages.»

    Radio Télévision Suisse
  • « Guillaume Musso, c’est la possibilité de lire et même de dévorer, dans un train ou sur le sable, (…) de la véritable littérature populaire! Musso, c’est de l’amour à toutes les pages, du suspense à en veux-tu en voilà, du fantastique ébouriffant… »

    Figaroscope
  • « Un thriller solide, réglé au quart de tour, qui fait voyager au bout du monde en explorant une vaste palette d’émotions. Ce très bon roman garantit un plaisir de lecture : une histoire haletante, très bien écrite, solidement construite. »

    Le journal du Québec
  • « On y découvre une écriture plus ancrée dans le réel. Une intrigue (…) guidée par une histoire d’amour mais qui se vit aussi comme un vrai thriller. »

    Nice-Matin
  • « Beaucoup de suspense savamment construit »

    Francetv info
  • « Un thriller surprenant. »

    Zoé Cadiot, Midi Libre
  • « Encore plus de suspense et d’intrigue. Ce thriller à la Hitchcock (…) est une œuvre aboutie ».

    France Soir
  • « Les personnages sont campés, le suspense se met en place. Et Guillaume Musso se régale tellement en écrivant que son lecteur en fait forcément autant. »

    Valérie Susset, L’Est Républicain
  • « 7 ans après… plonge le lecteur dans un engrenage hitchcockien. Avec ce thriller sur fond d’histoire d’amour (à moins que ce ne soit le contraire), Guillaume Musso fait mouche. On se laisse emporter dans cette longue course-poursuite où les rebondissements sont nombreux et parfois totalement inattendus. »

    L’Avenir
  • « Avec ce dernier ouvrage, les amateurs ne seront pas déçus et les autres vont être embarqués dans cette aventure haletante. […] Guillaume Musso décrit avec beaucoup d’humanité ses personnages et l’on suit avec curiosité cette aventure policière jusqu’à la dernière page. »

    Paris Normandie
  • « S’il n’abandonne pas complètement sa touche comédie romantique qui fait du bien et qui plait à ses lecteurs, Guillaume Musso embarque cette fois ses héros dans un thriller hitchcockien. »

    Metro (Belgique)
  • « Un thriller romantique (…) riche en émotions et actions, en sentiments et rebondissements. »

    Le Soir Magazine
  • « Le dernier Guillaume Musso, 7 Ans Après…, est un thriller haletant, une course effrénée qui sent le soufre et le sang, et nous entraîne de Manhattan à la jungle amazonienne, en passant par Barbès et les quais de Seine. (…) Un auteur au succès mérité. »

    Le Journal des femmes
  • « Guillaume Musso a gagné en maturité. (…) Avec 7 ans après…,  il confirme son penchant pour le thriller à suspense, un genre qu’il a l’art d’adoucir grâce à des héros à fleur de peau. »

    Terra Femina
  • « Une écriture vive (…), un vrai thriller plein de rebondissements. Ne boudez pas votre plaisir!  »

     

    Web tv culture
  • « L’ombre d’un certain Harlan Coben flotte clairement sur les premiers chapitres de l’aventure. Pied au planché, Guillaume Musso plonge tête la première dans le « cauchemar » de tout parent. (…) Avec un sens consommé de la narration, (…) ce nouveau Musso s’inscrit clairement dans la catégorie des ouvrages que l’on a toutes les difficultés du monde à déposer une fois entamer. On n’oubliera pas non plus ces dizaines de références qui font le plaisir des lecteurs attentifs, pépites extraites de la culture populaire, qui brillent discrètement au cœur de la trame et ne manqueront pas d’attirer le regard d’une génération biberonnées aux exploits de Marty McFly et des super-héros de la Marvel… sans pour autant laisser les novices sur le bord de la route.»

    Lire est un plaisir
  • « On est happé par l’histoire de ce riche luthier new-yorkais un brin lunaire, et de son ex-femme fantasque. Leur enquête express nous mène de New York à Rio en passant par Paris, à un rythme effréné (…). L’évasion et les émotions sont bien présentes! Musso réinvente le thriller familial.»

    Noir Suspense
7 ans après… à travers le monde

Vendu dans 14 langues :

  • Allemagne : Piper Verlag
  • Corée : Balgunsesang
  • Italie : Sperling & Kupfer
  • Lituanie : Baltos Iankos
  • Macédoine : Toper
  • Maroc : Centre culturel arabe
  • Monténégro : Nova Knjiga
  • Pays-Bas : A.W. Bruna
  • Pologne : Albatros
  • Roumanie : Allfa
  • Russie : Eksmo
  • Serbie : Vulkan
  • Taïwan : Crown
  • Vietnam : Nha Nam